En 2008, sa liberté de parole lui avait coûté son poste. Ministre d'ouverture du premier gouvernement Fillon, Jean-Marie Bockel, issu du PS, avait signé un peu trop vite l'acte de décès de la Françafrique. Au sein de son écurie d'origine, le sénateur du Haut-Rhin a longtemps incarné la sensibilité blairiste, chemin qui l'a poussé plus tard à rejoindre l'UDI à sa création. Dans nos colonnes, l'ancien maire de Mulhouse revient sur la conjoncture internationale et l'état - et surtout le futur - de la vieille maison socialiste.