Puisque le djihadisme nous plonge dans l’innommable, commençons par cesser de nommer « guerre » la longue suite de ses crimes et la lutte qu’il nous faut mener contre lui sur le sol national. Pas plus qu’hier, il ne gagnera demain. Mais en attendant, il n’a pas besoin de réseau de commandement complexe ni d’arsenal sophistiqué. Basé…
Quand on n’a que l’amour…
Par la simplicité de ses couplets, la si belle chanson de Jacques Brel a apporté un vrai hommage aux victimes. Après le traumatisme national du vendredi 13 novembre, le vertige nous saisit en considérant tout ce qui a pu être dit et écrit. Rien de plus normal, au demeurant, dans le constat que la douleur et l’angoisse conduisent à des flots de verbalisation intensive.